Road trip au Québec et Ontario sur 2 semaines : mon carnet de voyage

Le Québec et l’Ontario sont 2 régions administratives de l’est du Canada. La première est grand comme 2 fois et demie la France, et la seconde comme une fois et demie ! Un road trip au Québec et Ontario est donc forcément focalisé sur des régions bien précises.

Le but de coupler ces 2 parties était uniquement lié à la volonté de profiter de ce voyage pour se rendre également aux chutes du Niagara.

Je reviens dans cet article sur mon road trip au Québec, sous forme de carnet de voyage. Le tout en étant remis en contexte pour indiquer pourquoi j’ai construit mon itinéraire de cette manière, et pourquoi j’ai dû écarter certaines choses. En l’occurrence ici je me focalise sur la partie du Québec allant de Montréal jusqu’à Tadoussac. Et pour l’Ontario, le long du Saint-Laurent jusqu’à Toronto.

J’aborde également en fin d’article quelques sujets concrets pour préparer son voyage au Canada. Pour le contexte : j’ai réalisé ce road trip durant la période estivale, courant juin, avec une voiture de location et en dormant dans des hôtels, motels ou Bed & Breakfast.

Carnet de voyage de mon road trip au Québec et Ontario

Je vais détailler mon road trip au Québec, jour par jour. Pour certains lieux ou activités, j’ai relie à des articles dédiés que j’ai écrit. Vous pouvez les consulter pour davantage d’informations et de photos.

Jour 1 : Arrivée au Québec

J’ai atterri à l’aéroport international de Pierre Elliott Trudeau de Montréal vers 21h. Je retiens avant tout l’accueil sympathique lors du contrôle des passeports à l’aéroport à l’époque. C’est plutôt rare.

En revanche c’est relativement long (moins qu’aux Etats-Unis tout de même).

J’ai ensuite rejoint mon hôtel dans le centre en prenant un taxi. Il était déjà tard et je voulais arriver plus rapidement. De plus le taxi permet d’être déposé devant l’hôtel afin d’éviter de devoir traîner les valises… Comptez une quarantaine de dollars canadiens pour le trajet.

Il existe néanmoins une ligne de bus permettant de rejoindre le centre de Montréal. Comptez une petite heure de trajet, et une dizaine de dollars par personne pour ce service.

Jour 2 : parcours dans Montréal à vélo

J’avais déjà réalisé ce type de découverte à San Francisco. Et j’avais apprécié le fait de pouvoir me déplacer à vélo. A la fois un sentiment de liberté, et permettant également de découvrir des coins plus reculés.

J’ai donc pris la direction des quais au bord du fleuve Saint Laurent, pour aller y louer des vélos. Ceci en prenant le temps de m’y rendre à pied, afin de déambuler notamment dans le quartier du Vieux-Montréal.

Je les ai ainsi loués en début d’après-midi. La ville est dotée d’un réseau de pistes cyclables plutôt bien fourni. Près de 800 km de pistes aménagées !

J’ai suivi le chemin qui permet de longer le canal de Lachine vers le sud-ouest. Puis en remontant vers le côté nord, en traversant le pont de la Concorde.

Le but étant de faire un détour par le parc Jean Drapeau et sa célèbre biosphère. L’occasion aussi de prendre un verre dans ce parc avant de repartir et rendre les vélos.

Jour 3 : le centre de Montréal

J’ai débuté la journée en me rendant au marché Jean-Talon. Ce marché couvert est situé dans le quartier de la « petite Italie », dans le quart nord-ouest.

J’ai pris le métro pour m’y rendre.

Ensuite, j’ai pris la direction du parc du Mont-Royal, en déjeunant sur le pouce en route. C’est est un écrin de verdure dans lequel bon nombre d’habitants s’y rendent pour se promener, profiter du grand air, ou encore faire leur jogging.

Ce parc est situé sur les hauteurs, donc ses allées sont souvent en montée/descente, et il faut parfois monter des marches.  C’est depuis ce parc, plus exactement aux pieds du « Chalet du Mont-Royal », que l’on dispose de la meilleure vue.

Mes déambulations m’ont ensuite amené dans la Rue Sainte-Catherine Est, et notamment dans sa partie appelée « Le Village ».

Ce quartier est animé, et l’on peut y prendre un verre, manger, ou encore faire du shopping. Sa particularité est qu’un ensemble de 170 000 boules roses constituent une guirlande géante suspendue au-dessus de la rue.

J’ai terminé l’après-midi en me posant dans le parc La Fontaine, situé non loin. L’occasion d’observer à nouveau des écureuils, très présents dans les parcs. Pour ensuite aller manger une poutine non loin de là également, dans le restaurant « La Banquise ».

La poutine est un plat québécois à base de frites, de fromage en grains, et accompagné d’une sauce. Inévitable à goûter durant un road trip au Québec 😉 .

Pour davantage de détails et de conseils, vous pouvez lire l’article du blog dédié à ma visite de Montréal en 2 jours.

Jour 4 : le parc de la Mauricie

Voiture de location récupérée dans le centre de Montréal, j’ai pris la direction du parc national de la Mauricie. Environ 2 heures de route jusqu’à ce parc situé au Nord-Est.

Mon road trip au Québec commençait donc réellement maintenant !

Ce parc est composé essentiellement de forêts et de lacs. On y compte près de 150 lacs sur une superficie d’environ 530 km².

L’idée était d’y passer une après-midi pour randonner, et d’y revenir le lendemain pour louer des canoës. La météo en a décidé autrement…

J’ai donc réalisé quelques petites randonnées dans ce parc durant l’après-midi. Ce parc est vraiment au milieu de la nature, et lors de notre séjour en juin il n’y avait pas grand monde. En revanche énormément de moustiques, et je n’étais pas équipé de répulsif. Je l’ai regretté, donc pensez-y 🙂 .

J’ai ensuite passé la nuit dans la petite ville de Grand-Mère située non loin du parc. Un très bon bed & breakfast, dans le Gite du lac de la Tortue. Une maison située en bordure d’un lac, un accueil sympathique, de bons conseils, et un bon petit-déjeuner.

J’ai dédié un article complet au parc de la Mauricie. Vous pouvez le consulter pour davantage d’informations sur ce que l’on peut y faire, y voir, et comment y organiser son passage.

Jour 5 : la pluie…

Cette pluie m’a dissuadé de retourner à la Mauricie. Donc finalement pas besoin d’acheter du répulsif anti-moustique…

En solution de repli j’ai visité le musée du bûcheron à Grandes-Piles, non loin de là. Il s’agit en fait de la reconstitution d’un village authentique de bûcherons.

J’ai eu droit à la visite accompagné du gérant car il n’y avait personne ! En temps normal il y a l’audio-guide. Cette visite fut intéressante.

Je ne suis pas attardé plus longtemps dans cette région, et ai pris la direction du lac Saint-Jean. Trois bonnes heures de route, pour arriver à Alma. La pluie n’avait malheureusement pas cessé…

Jour 6 : le lac Saint-Jean

Et toujours la pluie… L’idée était de louer des vélos et de faire une balade dans le parc national de la Pointe-Taillon. Puis de traverser en bateau (avec les vélos) via le traversier qui amène jusqu’à Péribonka, de redescendre sur Sainte-Monique, et de terminer la boucle.

j’ai tout de même loué des vélos pour me balader dans le parc, histoire de m’occuper tout de même. Mais ce ne fut pas agréable, malgré notre équipement (k-way qui descend jusqu’aux genoux).

A noter qu’il est possible de faire le tour complet du lac Saint-Jean à vélo. En général on le fait sur plusieurs jours, avec des étapes intermédiaires. Mais ce n’était pas notre objectif.

Jour 7 : Tadoussac

Là encore j’ai adapté mes plans à cause de la pluie…

Il était bien question pour moi de me diriger vers Tadoussac, en longeant la rivière Saguenay et son fjord. Mais j’avais prévu de faire une randonnée dans le parc national du Fjord de Saguenay.

Il s’agissait de la randonnée du « sentier de la statue » qui permet d’accéder à un beau panorama sur le fjord.

Je ne l’ai donc pas faîte à cause de la pluie et suis arrivé à Tadoussac plus tôt que prévu.

Je me suis alors rabattus sur le musée de la baleine, ou plutôt le « Centre d’Interprétation des Mammifères marins ». Musée très intéressant, car à échelle humaine, focalisé sur les mammifères marins. Et notamment ceux que l’on peut observer dans le Saint-Laurent.

J’ai passé la nuit à Baie Sainte-Catherine, de l’autre côté de l’estuaire du Saguenay, encore une fois dans un très bon Bed & Breakfast, que je recommande : la Maison Rochefort. Il est bien situé, l’accueil est chaleureux et le petit-déjeuner excellent !

A noter que l’accès entre Tadoussac et Baie Sainte-Catherine nécessite de prendre le « traversier ». Celui-ci est gratuit !

Jour 8 : l’excursion des baleines

C’est un des grands temps forts de notre séjour au Canada ! J’ai dédié un article complet sur le blog à cette sortie en bateau pour voir des baleines à Tadoussac.

En deux mots, l’excursion consiste à sortir en bateau ou en zodiac sur le Saint-Laurent, et d’observer les mammifères marins qui veulent bien se montrer.

Je recommande la sortie en zodiac car il est plus rapide pour se déplacer, donc davantage adapté pour être à l' »affût » des mammifères.

En haute saison (juillet, août, septembre), il faut réserver à l’avance. Cette activité est très populaire. Vous pouvez effectuer votre réservation sur cette page.

Jour 9 : Baie Saint-Paul

L’objectif était à partir de maintenant de me rendre vers l’Ouest jusqu’à Toronto pour continuer ce road trip au Québec. J’ai donc repris la route, en direction dans un premier temps de Baie Saint-Paul. A environ 2 heures de route.

Rien de notable en particulier si ce n’est un centre-ville agréable. Avec quelques façades colorées notamment.

Il s’agissait avant tout d’inclure une petite étape avant de rejoindre la ville de Québec, étape suivante de mon road trip au Québec.

Jour 10 : la chute de Montmorency et la ville de Québec

La chute de Montmorency

Direction Québec donc, avec un arrêt à la chute de Montmorency, à environ une heure de route. La chute est d’une hauteur de 83 mètres. Elle est donc plus haute que les chutes du Niagara !

Une petite balade permet d’accéder en haut de la chute, de la traverser en passant sur un pont. Puis de redescendre de l’autre côté.

Cet accès se fait depuis le parking du Manoir Montmorency situé à l’ouest de la chute.

L’accès principal, au sud de la chute, permet lui de les voir de face. Mais aussi d’accéder à un téléphérique qui rejoint le sommet. Il faut compter en revanche une quinzaine de dollars canadiens pour ce téléphérique.

La visite du Vieux Québec

Je me suis ensuite rendu dans la ville de Québec, située à quelques kilomètres seulement, pour y passer l’après-midi.

Cette après-midi a surtout été pour moi l’occasion de la découvrir en déambulant dans les rues du Vieux-Québec, et notamment autour du célèbre château Frontenac, emblématique.

J’ai dédié un article sur le blog à cette visite de Québec. Je partage ce que l’on peut y faire et y voir, ainsi que quelques conseils pour y organiser sa visite. Vous pouvez le consulter pour obtenir davantage d’éléments.

En toute fin d’après-midi j’ai repris la route, toujours vers l’ouest. Et avons passé la nuit dans la petite ville de Trois-Rivières dans un motel sans charme particulier. Avec le recul je regrette de ne pas avoir passé la nuit à Québec.

Jours 11 et 12 : Kingston dans l’Ontario et excursion des 1000 îles

Il s’agissait là de se diriger clairement vers l’Ontario. Kingston se situe à environ 4 heures de route de Trois-Rivières.

Elle constituait une étape intermédiaire à Toronto, et je l’avais inclus afin de profiter de l’excursion dite des « 1000 îles ».

J’ai dédié un article complet à Kingston et l’excursion des 1000 îles.

Après cette sortie en bateau j’ai pris la direction de Toronto, ou plutôt sa banlieue. Car pour des raisons de facilité, j’avais préféré prendre un hôtel au bord d’un grand axe (un Best Western en l’occurrence).

Environ 2 heures de route jusque là. L’idée était surtout de se faciliter l’objectif du lendemain, à savoir se rendre aux chutes du Niagara dès le matin !

Jour 13 : les chutes du Niagara

C’était pour moi le second temps fort de ce voyage, après les baleines à Tadoussac ! Donc direction les chutes dès le matin, à environ une heure et demie de route.

J’ai également dédié un article aux chutes du Niagara. Je ne m’attarde donc pas ici, si ce n’est pour indiquer qu’elles sont réellement impressionnantes. Et qu’elles sont devenues également un lieu très touristique, assez loin de l’image du paysage en pleine nature que l’on peut s’imaginer.

Retour sur Toronto, mais cette fois-ci dans le centre-ville. D’une part pour rendre la voiture de location, et d’autre part pour rejoindre l’hôtel situé dans le centre également.

Un hôtel plutôt bien situé, ce qui m’a permis de profiter du peu de temps que je passais ici. Pour info, c’était le Holiday Inn Express. J’en ai été satisfait.

En cette fin d’après-midi j’ai commencé la visite de la ville, en passant notamment par la fameuse CN Tower !

Jour 14 : Toronto pour terminer ce road trip au Québec et Ontario

C’était mon dernier jour au Canada. J’ai passé quelques heures à déambuler dans Toronto. Elle est moderne, et je n’ai pas particulièrement accroché.

Néanmoins, il faut dire que je n’avais pas forcément cherché non plus à la découvrir… J’ai dédié un article sur le blog à la visite de Toronto, visite réalisée sur une journée donc. Vous pouvez le consulter pour davantage d’informations.

Et enfin, direction l’aéroport pour le retour, ou plutôt un autre départ… Car j’ai combiné derrière 5 jours à New York. Elles sont seulement séparées d’une heure de vol environ. Mais ça c’est une autre histoire 😉 .

J’ai rejoint l’aéroport en prenant le métro jusqu’à l’arrêt Yorkdale. Puis le bus via la ligne 34 de la compagnie Go Transit. Ce bus amène directement à l’aéroport depuis la gare routière. Compter environ 5 dollars canadiens par personne pour le trajet en bus.

Mon retour d’expérience sur ce voyage

Je retiens avant tout l’accueil et la gentillesse des québécois. Certains m’ont arrêté dans la rue, me voyant en train de regarder mon plan…. Dans le but de m’aider. Je n’ai jusqu’à présent pas rencontré ce type de comportement ailleurs 🙂 .

Les temps forts de mon road trip au Québec et Ontario

Ce voyage comportait essentiellement deux temps forts : les baleines et les chutes du Niagara.

Au-delà, j’attendais également de bons moments dans le parc national de la Mauricie, au lac Saint-Jean et dans le fjord de Saguenay. La météo en a décidé autrement malheureusement…

Si vous hésitez avec un road trip dans l’Ouest Américain, il n’y a pas photo, je vous conseille l’Ouest Américain. La beauté et la variété des paysages est à mon sens beaucoup plus forte.

Dans l’ouest américain, c’est un temps fort par jour quasiment… Alors que les paysages du Canada durant la saison d’été, aussi beaux soient-ils, sont essentiellement constitués de verdure.

Au quotidien

J’aborde maintenant quelques sujets en rapport avec le quotidien durant un road trip au Québec.

La nourriture

Globalement la nourriture est similaire à celle des Etats-Unis.

Dans les grandes villes on trouve bien sûr des restaurants de toute sorte et l’on y trouvera plus facilement son bonheur. Comme par exemple les fameuses poutines !

C’est le cas notamment à Montréal, Toronto ou encore Québec. En revanche dans les petites villes, on tombe davantage sur des chaînes de restauration rapide. Ou sur des restaurants où l’on sert des plats classiques type hamburger, pizza ou salade.

J’ai pique-niquer régulièrement, me fournissant donc dans les supermarchés. En revanche difficile, voire impossible, de trouver de quoi se faire de « bons » sandwichs. A savoir du bon pain, du bon fromage, de la charcuterie. Il s’agit donc davantage de pain de mie, de fromage en tranche sous plastique (choix entre du fromage blanc et du fromage orange…). Mais on s’y fait 🙂 .

La conduite

On conduit à droite au Canada, donc rien de particulier. Les panneaux indiquent les limitations de vitesse et les différents dangers.

A noter tout de même qu’au Québec il est possible de tourner à droite dans les carrefours si on en a la possibilité, même si le feu est rouge. Exception tout de même pour Montréal.

Attention également aux feux tricolores dans les intersections. Ceux-ci se trouvent de l’autre côté de l’intersection ! Il ne faut donc pas s’arrêter au feu comme en France, mais au niveau de la bande blanche à l’entrée du carrefour.

Pour la location de voiture, compter environ 35 euros pour jour pour la location d’une berline. C’est plus cher qu’aux Etats-Unis.

J’étais passé par Rental Cars, un site comparateur de loueurs de voitures pour faire mon choix. Ce type de site permet de savoir rapidement quel loueur sera le moins cher pour le type de véhicule recherché. Il offre aussi la possibilité de voir les avis des clients sur les loueurs, et d’annuler facilement sa réservation si besoin.

Se rendre au Canada

Depuis 2016 le gouvernement du Canada a renforcé sa politique d’entrée sur son territoire en mettant en place un système similaire à celui des Etats-Unis.

Il faut donc désormais remplir et faire valider le formulaire de l’ « AVE » (Autorisation de Voyage Electronique). Cette demande se fait en ligne et nécessite d’avoir un passeport valide, une carte bancaire pour payer, et une adresse email. Le coût est de 7 € canadiens par personne.

Vous pouvez remplir ce formulaire sur le site officiel du Canada en allant dans la rubrique « Vérifiez s’il vous faut un VISA ».

Pour être accompagné dans ces démarches, et plus globalement durant son road trip au Québec et Ontario, on peut également passer par une agence de voyage au Canada qui propose des auto-tour. Celle-ci, spécialisée dans les auto-tour, est réputée pour cela. Elle propose d’ailleurs un road trip quasiment similaire à celui que j’ai décrit dans cet article (en l’occurrence : celui-ci).

L’hébergement

Si vous êtes attiré par le camping, il est tout à fait possible d’en faire dans les différents parcs. En revanche je n’ai pas de retour d’expérience à vous partager car pour des voyages itinérants je réserve en général dans des hôtels ou des maisons d’hôte.

Comme souvent je réserve tout à l’avance pour ne pas me retrouver « piéger ». Et pour pouvoir annuler quasiment jusqu’au dernier moment, au cas-où.

Les prix sont relativement similaires à ceux que l’on trouve dans l’ouest américain, pour des logements de type motels ou hôtels dans les petites villes.

Comptez donc une centaine d’euros la nuit. Parfois moins. Dans les grandes villes c’est un peu plus cher, ou alors il faut s’éloigner du centre.

J’ai consacré un article complet sur choisir où dormir au Québec. Vous pouvez le consulter pour plus d’infos et de recommandations d’hébergements.

Si je devais refaire ce road trip au Québec…

Je ne regrette pas l’idée d’avoir couplé le Québec avec les chutes du Niagara dans l’Ontario. Me rendre aux chutes du Niagara était un vieux rêve, et j’aurais regretté de ne pas avoir profité de cette proximité pour m’y rendre.

Mais maintenant que j’ai vu les chutes du Niagara, je ne referai pas un road trip de ce type. Même si l’on a essayé d’éviter les trop grosses distances d’une seule traite, j’ai tout de même parcouru pas mal de kilomètres !

J’ai été charmé par le Québec, et je pense que j’y retournerai un jour. Notamment du côté de Tadoussac, et je prolongerai vers la région de la Gaspésie. Cette région a l’air magnifique également.

Mais surtout, je m’y rendrai au début de l’automne, vers fin septembre ou début octobre. Ceci pour bénéficier du changement de couleurs des feuilles. Passionné de photo, il faut dire que des forêts vertes, même agrémentées de rivières ou lacs, ne sont finalement pas très photogéniques.

En revanche, en contrepartie, fin septembre commence à devenir compliqué pour l’observation des baleines dans le Saint-Laurent. Un compromis à trouver donc !

Si vous êtes dans vos préparatifs de road trip au Québec, j’espère avoir pu vous aider avec mon itinéraire et mes conseils. N’hésitez pas à me poser des questions en commentaires si vous en avez, ou venir partager votre ressenti après votre voyage au Québec 😉 . Et je vous souhaite dans ce cas un beau voyage au Canada !